A la liste déjà bien fournie des prix de la rentrée ayant fourni leur première sélection, vient s’ajouter aujourd’hui celle de l’Interallié, qui clôture la marche. Un prix qui récompense un écrivain-journaliste même si cette vocation première semble parfois échapper un peu au jury. Voici donc les 12 heureux élus :
– Pierre Lemaître, Au revoir là-haut (Albin Michel)
– Nelly Alard, Moment d’un couple (Gallimard)
– Olivier Bleys, Concerto pour la main morte (Albin Michel)
– Étienne de Montety, La Route du salut (Gallimard)
– Alain Jaubert, Au bord de la mer violette (Gallimard)
– Arthur Loustalot, La Ruche (Lattès)
– Judith Perrignon, Les Faibles et les forts (Stock)
– Monica Sabolo, Tout cela n’a rien à voir avec moi (Lattès)
– Karine Tuil, L’invention de nos vies (Grasset)
– Philippe Vasset, La Conjuration (Fayard)
– Flore Vasseur, En bande organisée (Équateurs)
– Philippe Jaenada, Sulak (Julliard)
Certains des romans qui me tentent en cette rentrée sont sur cette liste, ce qu’il fait qu’elle me parle assez. Il serait peut-être temps que j’ouvre quelques un de ces livres pour me faire un avis tout de même (enfin, d’abord faudrait-il que j’arrive à finir L’éducation sentimentale que j’ai eu l’excellente idée de commencer en pleine rentrée littéraire…). Verdict le 13 novembre.