Comme chaque été, j’ai accompli mon pèlerinage annuel aux étangs de Bassiès, dans les Pyrénées ariègeoises. Voici quelques photos en attendant l’année prochaine :
Pour celles de l’année dernière et de plus amples informations, c’est par là.
Les critiques assassines
Comme chaque été, j’ai accompli mon pèlerinage annuel aux étangs de Bassiès, dans les Pyrénées ariègeoises. Voici quelques photos en attendant l’année prochaine :
Pour celles de l’année dernière et de plus amples informations, c’est par là.
Voici un petit moment que je n’ai pas mis de photos sur ce blog, j’ai un sérieux retard. Je vais commencer à le rattraper avec deux séries d’images d’automnes, pour bien attaquer l’hiver. On part une fois de plus du côté de la montagne (mais promis, vous aurez aussi droit à la mer bientôt).
Aujourd’hui est un grand jour. Je vais vous présenter un endroit que je ne partage que rarement, un lieu qui est pour moi magique, mon paradis sur Terre. Pour y arriver, comptez 2h30 à 3h de marche qui seront largement récompensées !
Les étangs de Bassiès se trouvent dans l’Ariège, on peut les atteindre par Auzat (commune sur laquelle ils sont situés) ou « Coumebière », au-dessus d’Aulus, sur la route du Col d’Agnes (qui rejoint Massat, mon chez moi). C’est cette 2° option que je vais vous présenter. On commence par monter environ une heure par des lacets en pente douce au bord desquels on peut observer de nombreuses fleurs de montagnes, croiser des vaches et humer l’odeur des oeillets. On atteint ensuite le Port de Saleix, d’où la vue dégagée est très belle. Ensuite, une montée un peu raide vous attend, courage, elle n’est pas très longue et c’est la seule difficulté du parcours. La première bonne surprise vient de l’étang d’Alate, au bord du chemin, idéal pour une petite pause et une baignade pour les courageux. Encore un peu de marche en traversée et…

… en contrebas, au fond d’un cirque surmonté par un sommet majestueux (La Pique Rouge), les étangs apparaissent. Sept étangs de tailles diverses dans un écrin de verdure. Une longue descente y mène. Les berges offrent de très beaux paysages, ainsi que le ruisseau à l’eau cristalline dans lequel se jettent de larges pierres. Si vous êtes sportifs et ne craignez pas de vous lever tôt, le sommet qui domine les lieux offre un point de vue incomparable. Le refuge vous accueillera pour quelques heures ou quelques jours. Si vous le pouvez, passez-y la nuit. L’accueil est chaleureux et on y fait toujours de bonnes rencontres. L’apéritif maison est succulent, les repas pantagruélique et l’expérience d’une nuit en refuge est unique ; le tout à des tarifs abordables. Si vous avez moins de temps (ou un tout petit budget), une crêpe peut aussi récompenser votre ascension. Un endroit magique qu’on voudrait ne jamais quitter et où il fait bon retourner encore et encore.

Pour tout renseignement, le site internet du refuge.
Peu de lectures et sorties à partager en ce moment, alors en attendant un réveil de mes activités culturelles, quelques photos. Aujourd’hui, des fleurs de montagne et une intruse. En connaissez-vous quelques-unes (si personne ne trouve et que ça intéresse quelqu’un je donne même les noms) ? Au prochain épisode, le paysage qui va avec. Veuillez excuser la mise en page, je n’arrive toujours pas à faire mieux sous WordPress.