En attendant le compte-rendu de notre club-lecture de mai, le choix de l’ouvrage que nous lirons en juin est soumis au vote. Nous choisirons entre 5 ouvrages très différents. Et vous, lequel choisiriez-vous ? Vous avez une semaine pour donner votre avis. Voici le résumé des éditeurs.
– La cloche de détresse de Sylviz Plath, 270 pages. Ce roman est souvent considéré comme un roman à clef, articulé autour d’un parallèle entre la plongée dans la folie de l’héroïne, et les propres expériences de Sylvia Plath eut égard aux troubles bipolaires sévères dont elle souffrait.
– La noce d’Anna de Natacha Appanah, 138 pages. Pendant La noce d’Anna, sa mère se souvient. De la jeune femme qu’elle a été, si différente de sa fille aujourd’hui, de ses rêves, de ses espoirs, de ses envies ; parce qu’elle en a encore, des envies, cette femme célibataire qui marie sa fille… Pendant la noce, l’enfance d’Anna resurgit avec le souvenir du père, de l’absent, de l’inconnu… Et un autre bonheur pointe son nez dans la nuit.
– Le vendeur de saris de Rupa Bajwa, 285 pages. Si Ramchand n’est aux yeux de ses clientes, qu’un simpLe vendeur de saris, il dissimule pourtant une moralité et une sensibilité rares. Son ignorance, source d’une immense honte, face à l’éducation d’une riche cliente change la donne : désormais, il veut prendre sa vie en main. L’acquisition de deux grammaires anglaises marque le début d’une quête, celle d’un avenir meilleur et d’une existence plus juste. Mais si les horizons du jeune vendeur sont désormais élargis, la confrontation avec l’injustice et la cruauté du monde n’en est que plus brutale…
– 84, Charing Cross Raod d’Helene Hanff, 156 pages. Par un beau jour d’octobre 1949, Helene Hanff s’adresse depuis New York à la librairie Marks & Co., sise 84, Charing Cross Road à Londres. Passionnée, maniaque, un peu fauchée, extravagante, Miss Hanff réclame à Frank Doel les livres introuvables qui assouviront son insatiable soif de découvertes. Vingt ans plus tard, ils s’écrivent toujours et la familiarité a laissé place à l’intime, presque à l’amour.
– L’homme qui marchait sur la lune d’Howard McCord, 144 pages. Qui est William Gasper, cet homme qui depuis cinq ans arpente inlassablement la Lune, une “montagne de nulle part” en plein coeur du Nevada ? De ce marcheur solitaire, nul ne sait rien. Est-il un ascète, un promeneur mystique, un fugitif ? Tandis qu’il poursuit son ascension, ponctuée de souvenirs réels ou imaginaires, son passé s’éclaire peu à peu : ancien tueur professionnel pour le compte de l’armée américaine, il s’est fait de nombreux ennemis. Parmi lesquels, peut-être, cet homme qui le suit sur la Lune ? Entre Gasper et son poursuivant s’engage alors un jeu du chat et de la souris.
J’ai lu La noce d’Anna et 84, Charring Cross Road! Beaucoup aimé!
Les 2 me tentent ! Dur dur de choisir. Mais j’ai peut-être une petite préférence pour 84, charring cross road, je trouve l’idée plutôt marrante pour un club lecture.
A défaut de répondre par mail, j’ai voté ici. 84 Charuing Cross: lu et franchement pas folichon (je doute fort que ça te plaise!). La noce d’anna: lu et bcp aimé, d’ailleurs, ok pour le relire. L’homme qui marchait sur la lune: bof, sans plus… La cloche de détresse est mon favori, parceque je l’ai dans ma PAL, et que je pense que c’est un sujet intéressant mais effectivement pas très drôle!
Arf, zut, le résumée de 84… était pourtant vendeur ! J’avoue que la Noce d’Anna me tente beaucoup.
Les noces d’Anna a l’aire d’être un roman tres sympathique, la cloche de détresse a l’aire tres intéressant aussi !
« La cloche de détresse » ça m’a l’air un peu déprimant (comme son nom l’indique), pas trop le genre qui m’enthousiasme en ce moment. Mais « La noce d’Anna » ça me tente bien !
84, charring cross road a l’air bien tentant même s’il ne tient pas ses parole apparemment. Vous avez laissé tomber l’idée de lire Rafael, derniers jours ?
J’avoue que je n’ai pas pensé à le reproposer ce mois-ci… Mais on peut retenter pour juillet 🙂
La noce d’Anna alors?
Oui, j’envoie le mail avec les références de suite !