Décidément, les sélections s’enchaînent à un rythme effréné puisqu’a été annoncée, le même jour que celle du Renaudot, la première sélection pour le prix Décembre.
– Moment d’un couple, Nelly Alard (Gallimard)
– La claire fontaine, David Bosc (Verdier)
– Faber : le destructeur, Tristan Garcia (Gallimard)
– Avoir un corps, Brigitte Giraud (Stock)
– Haute époque, Jean-Yves Lacroix (Albin Michel)
– Toute la noirceur du monde, Pierre Mérot (Flammarion)
– Naissance, Yann Moix (Grasset)
– La réforme de l’Opéra de Pékin, Maël Renouard (Rivages)
– Les évaporés, Thomas B. Reverdy (Flammarion)
– Ormuz, Jean Rolin (P.O.L)
– Arden, Frédéric Verger (Gallimard)
– Une matière inflammable, Marc Weitzmann (Stock)
Parmi les titres sélectionnés, on remarquera que certains noms reviennes sur les différentes listes, et notamment celui de Yann Moix qui fait une entrée remarquée dans cette rentrée littéraire. A suivre…
oui c’est bizarre quand même que Yann Moix truste toutes les sélections…déjà tous les membres de tous ces jurys sont allés au bout des 1152 pages? et puis il y a surement quelques fulgurances mais aussi pas mal de passages indigestes, j’imagine…c’était déjà le cas dans ses romans plus courts :o)
J’avoue que je n’ai jamais rien lu de lui, mais je note que contrairement à l’année dernière avec Patrick Deville, si tous les journalistes ayant publié les premières listes pour les prix ont signalé sa présence, aucun n’a fait le moindre commentaire sur la qualité 🙂 Il faut dire que rien que rien que la 4° est déjà assommante alors 1152 pages…
J’ai vu cela aussi pour Moix. Incompréhension totale, tellement tout est imbuvable chez lui … À suivre, mais vraiment par curiosité ! 😉
Je ne le connais pas mais les critiques lues de-ci de-là ne font décidément pas envie ! Près de 1200 pages pour raconter les 8° mois de sa vie, visiblement sans la moindre structure, ça me laisse perplexe. J’ai hâte de voir ce qu’en penseront les juré du Femina ! 🙂