Après le Goncourt la semaine dernière, sont tombées aujourd’hui les 2° sélections des prix Renaudot, Médicis et Femina. Les voici.
Prix Renaudot :
Vassilis Alexakis, L’enfant grec (Stock)
Christian Authier, Une certaine fatigue (Stock)
Anne Berest, Les Patriarches (Grasset)
Mohamed Boudjedra, Le parti des coïncidences (Alma)
Patrick Deville, Peste et choléra (Seuil)
Henri Lopes, Une enfant de Poto-Poto (Gallimard)
Jean-Loup Trassard, L’homme des haies (Gallimard)
Florian Zeller, La Jouissance (Gallimard)
Prix Médicis :
Patrick Deville, Peste et choléra (Seuil)
Philippe Djian, Oh! (Gallimard)
Leslie Kaplan, Millefeuille (POL)
Emmanuelle Pireyre, Féerie générale (L’Olivier)
Patrick Roegiers, Le Bonheur des Belges (Grasset)
Abdellah Taïa, Infidèles (Seuil)
Prix Femina :
Thierry Beinstingel, Ils désertent (Fayard)
Julia Deck, Viviane Elisabeth Fauville (Minuit)
Patrick Deville, Peste et choléra (Seuil)
Jérôme Ferrari, Le sermon sur la chute de Rome (Actes Sud)
Lancelot Hamelin, Le couvre-feu d’octobre (L’Arpenteur/Gallimard)
Bruno Le Maire, Musique absolue. Une répétition avec Carlos Kleiber (Gallimard)
Catherine Mavrikakis, Les derniers jours de Smokey Nelsol (Wespieser)
Catherine Safonoff, Le mineur et le canari (Zoé)
Antoine Sénanque, Salut Marie (Grasset)
Anne Serre, Petite table, sois mise ! (Verdier)
On notera que Patrick Deville est décidément partout quand d’autres présences sont plus surprenantes à ce stade plus avancé des diverses sélections. Je vous rappelle au passage que la 2° sélection du Goncourt, c’est par là.Le verdict sera pour les tout premiers jours de novembre… En attendant, le Prix Nobel de littérature sera décerné ce jeudi. Rendez-vous très vite pour les résultats.
J’avais fait la même remarque que toi sur le roman de Patrick Deville. Personnellemen,t je n’ai pas encore lu donc je ne sais pas s’il vaut toutes ces sélections.
Il les vaut parce que c’est sans doute le livre le plus maîtrisé de la rentrée littéraire stylistiquement parlant mais je me rends compte que pour moi c’est une qualité qui ne suffit à faire un grand livre.